Quatre choses à faire maintenant que le GCT est terminé…

  • 11 février 2014

Lors de la dernière réunion du GCT de l’IITA (dans sa forme longue, le Groupe consultatif technique de l’Initiative internationale pour la transparence de l’aide) à Montréal, j’ai redécouvert combien sa communauté était créative et passionnée. Notre groupe se compose de membres venus d’horizons très variés, représentant à la fois des pays partenaires, des donateurs nationaux et multilatéraux, des fondations, des organisations de la société civile et des entreprises privées. As des technologies, analystes de données et de processus, spécialistes en communication et politiques... Notre autre force réside dans la pluralité de nos compétences. Ensemble, nous possédons une compréhension complète de la production et de l’utilisation des données. Qui plus est, nous sommes tous passionnés par notre mission et notre capacité à faire changer le monde.

Maintenant que nous sommes de retour à nos postes habituels, examinons comment mettre à profit cette profusion d’énergie et d’enthousiasme.

Voici quelques mesures concrètes inspirées de nos séances de travail concernant l’amélioration du travail du GCT.

1. Renforcer nos communautés en ligne

Le GCT dispose de plusieurs espaces en ligne, notamment la liste de diffusion, le wiki, la norme de l’IITA (iatistandard.org) et le site d’aide à l’utilisation de la norme de l’IITA (support.iatistandard.org). Comme ces espaces manquent parfois de clarté pour les nouveaux membres de la communauté, nous devons les consolider et les améliorer pour qu’il soit possible de poser des questions, soumettre des idées et trouver des partenaires.

icon_6677 Ce que vous pouvez faire : Inscrivez-vous à la liste de diffusion et proposez des idées concernant l’amélioration des communautés en ligne. Vous pouvez aussi vous porter volontaire pour gérer l’un des espaces de la communauté.

2. Se rencontrer (en chair et en os)

Les communautés se nourrissent des échanges – qu’ils soient virtuels ou réels. Nous devons donc organiser plus de réunions physiques, que ce soit par emplacement (p. ex., dans une ville ou un pays) ou par thème (p. ex., tous les géocodeurs ou toutes les personnes ayant un intérêt pour les identifiants budgétaires). Ces rencontres peuvent aussi avoir lieu en marge des événements existants (p. ex., le festival sur les savoirs libres à Berlin) ou tout simplement là où se déroule l’@OPENGOVHULK de la semaine.

icon_6677 Ce que vous pouvez faire : Dénichez des membres de la communauté de l’IITA dans votre ville ou votre pays et organisez une rencontre dans un café ou tout autre endroit. Présentez ensuite les événements que vous organisez à l’ensemble de la communauté mondiale du GCT à travers des billets de blog ou la liste de diffusion.

3. Améliorer notre documentation

Nous savons que la documentation technique de l’IITA doit être améliorée pour que toutes les parties concernées (signataires, analystes, utilisateurs finaux, etc.) puissent obtenir les informations dont elles ont besoin – quelle que soit leur ancienneté dans la communauté de l’IITA.

icon_6677 Ce que vous pouvez faire : Proposez d’améliorer la documentation sur un ou plusieurs domaines – utilisez la liste de diffusion pour faire connaître votre bonne volonté à l’équipe technique de l’IITA.

4. Créer des groupes de travail

Pour améliorer le GCT, il est aussi utile de créer des groupes de travail collaboratifs sur des questions ou thèmes particuliers. Ainsi, nous pouvons trouver de nouvelles idées, monter des propositions ou simplement collaborer autour de petites améliorations. Parce qu’ils fonctionnent selon le principe du partage des tâches, les groupes de travail permettent aussi d’en faire plus.

icon_6677 Ce que vous pouvez faire : Proposez de former un groupe de travail, par exemple sur l’une des mesures suggérées par le GCT. Faites-le-nous savoir par la liste de diffusion ou en contactant directement l’équipe.

Bien sûr, si vous avez des suggestions pour rendre le GCT plus efficace, je vous invite à me contacter ou à écrire à l’adresse ci-dessous.

[email protected]

L’engrenage a été dessiné par Antonio Vicién Faure de Noun Project.